La politique monétaire des États-Unis a un impact important sur les marchés financiers, mais avec des effets plus faibles et indirects sur l'économie européenne et, par conséquent, sur les poches des citoyens de la zone euro. Depuis la fin de l'année dernière, sa stratégie a changé, suite à la décision de la Réserve fédérale de relever les taux d'intérêt d'un quart de point, jusqu'à 0,50%. Ce ne sera pas le seul, puisque la banque centrale nord-américaine a montré dans ses dernières déclarations qu'il y aura de nouvelles augmentations du prix de la monnaie dans les mois à venir, même si cela se fera progressivement et de manière contrôlée.
Ce changement de position de sa politique monétaire intervient une décennie après la dernière hausse des taux. Sans surprise, c'est le premier depuis 2006, avant que la crise financière n'éclate. Cette mesure a contribué à consolider la croissance de l'économie américaine, grâce à un cycle expansif de son activité productive qui l'a conduit à atteindre niveaux supérieurs à 4% de son produit intérieur brut au cours de certains trimestres de ces dernières années. Avec le retrait de la relance de l'économie, compte tenu des signes évidents d'amélioration, l'ampleur de ces augmentations reste à vérifier. De 6,25% où le prix de la monnaie évoluait au début de ce siècle, à 0,25% fin 2008, pour ne pas abandonner ces niveaux pendant sept ans. Et cela contraste avec les taux négatifs de la Suisse (0,75%) ou du Japon (0,10%) qui sont les pays où le prix de l'argent est le moins cher.
Elle frappe la divergence de la politique monétaire nord-américaine avec laquelle elle est menée dans l'Union européenne, qui est complètement différente. En effet, de ce côté de l'Atlantique, la Banque centrale européenne (BCE) a récemment décidé de poursuivre sa stratégie d'assouplissement monétaire en abaisser le prix de l'argent à 0%, comme instrument de relance de l'activité économique dans cette zone géographique, après avoir détecté des signes de ralentissement de son économie.
Types: opportunités d'investissement
Le tournant de la politique monétaire américaine a sa réflexion la plus directe sur la marchés boursiers. Bien que dans une large mesure, il ait été actualisé au cours de l'année écoulée. Sans surprise, les réactions des marchés à ce changement de tendance ont été de s'orienter vers d'autres actifs financiers, c'est-à-dire vers de nouveaux produits d'investissement prenant en compte ces mouvements. Lorsque les taux baissent, les investisseurs voient le marché boursier comme le meilleur instrument pour rentabiliser votre épargne et les flux de capitaux sont orientés vers cet investissement. Compte tenu de ce nouveau scénario économique, les hausses enregistrées sur leurs marchés ne seront probablement pas perçues comme les années où ils ont dû vivre avec des taux extrêmement bas.
À cela, il faut ajouter que, compte tenu de la perte de compétitivité des entreprises nord-américaines en raison de la force du dollar, l'épargne peut être dirigée vers des produits à revenu fixe. Et tout particulièrement à l'obligation nord-américaine, l'un des grands bénéficiaires de cette situation. Une baisse de son prix, avec une augmentation de sa rentabilité, donnera l'opportunité aux investisseurs de prendre désormais position sur cet actif financier avec de meilleures perspectives de performance.
Bien qu'il puisse être contracté directement, la chose la plus simple et la plus confortable est de le faire à partir d'un fonds à revenu fixe, qui l'inclut dans son portefeuille d'investissement. Ou même s'orienter vers les actions européennes, et cela en raison de la baisse des taux d'intérêt qu'elle présente actuellement, peut reprendre le relais que la bourse nord-américaine a laissé après la montée à la hausse des dernières années. Sans surprise, son indice le plus représentatif, le Dow Jones, s'est apprécié en cette période de taux bas environ 90%, après avoir atteint ses sommets absolus en 2015, après avoir atteint le niveau de 18.312 XNUMX points.
Des voyages plus chers pour les Européens
Les citoyens de la zone euro qui vont se déplacer de l'autre côté de l'Atlantique, remarqueront également les effets de cette mesure, puisqu'ils seront lésés par un euro moins précieux dans leur échange avec la monnaie nord-américaine. Et par conséquent, votre forfait vacances, réservation d'hébergement ou accès à d'autres services touristiques sera désormais plus vaste.
Dans d'autres domaines d'activité économique, les résultats seront beaucoup plus modestes et n'atteindront guère vos poches. Sans aller plus loin, elle n'aura aucun impact sur les coûts des services et produits bancaires, qui dépendent exclusivement de la politique monétaire communautaire. Sans intention de changer sa stratégie, après la dernière déclaration de la banque émettrice. De cette façon, la relation avec les prêts et les hypothèques continuera d'être comme avant, avec des taux d'intérêt plus bas. Il faut rappeler que le principal indice de référence pour formaliser les hypothèques, Euribor, est actuellement à - 0,012%, après être resté au cours de la dernière décennie entre 0,059% et 5,384%.
Quant aux produits de base pour l'épargne (dépôts, billets à ordre bancaires, etc.), ils continueront d'évoluer sous des niveaux de performance très faibles, quasi négligeables. Où ils dépasseront rarement la barrière de 0,50%, Sauf si certaines stratégies sont utilisées pour augmenter sa rentabilité (mise en relation avec d'autres actifs financiers, offres pour de nouveaux clients ou sous-traitance d'autres produits).
Parité monétaire
Un autre actif financier sensible à l'évolution du cycle monétaire aux États-Unis est celui qui a les devises comme point de référence. Sans surprise, le dollar américain s'est apprécié par rapport aux autres devises du monde, depuis le début de ce nouveau virage vers sa police économique. Et malgré le fait que son prix par rapport à l'euro se soit contracté au minimum de 2,80%, au cours des premiers mois de cette année.
Le principal problème affectera les économies émergentes, car elles devront faire face à un dollar plus cher, ce qui pourrait même peser sur l'évolution des entreprises espagnoles ayant des intérêts dans certaines zones géographiques (Brésil, Mexique, Argentine, etc.). Bien que, d'autre part, améliorera le bilan des entreprises européennes (Espagnol) à travers leurs exportations. Sa réflexion en actions s'est concrétisée par un ajustement de ses prix, conformément à la nouvelle réalité économique.
Son impact sur l'investissement
Bien entendu, la situation des taux d'intérêt aura un impact plus qu'important sur les positions que vous ouvrirez en actions. Jusqu'à ce que vous aider à gagner ou à perdre de l'argent sur les marchés financiers. Sans surprise, c'est l'une des variables économiques les plus déterminantes pour l'évolution du marché boursier à tout moment et situation. Ne les oubliez pas si vous souhaitez rentabiliser l'épargne avec de plus grandes garanties de réussite dans toutes vos opérations.
Bien entendu, la meilleure situation se produira lorsque les taux d'intérêt resteront bas, comme c'est le cas actuellement, car va conduire les cours des actions coté sur les actions. La raison doit être trouvée en étant le prix de l'argent bon marché, les sociétés de financement y trouvent beaucoup plus bénéfique pour leurs intérêts. Tout cela se traduit par un meilleur positionnement dans leurs métiers. Ils coïncident généralement avec la tendance à la hausse des marchés financiers.
Le mouvement inverse, c'est-à-dire des taux d'intérêt élevés, génère l'effet inverse. Comme le prix de l'argent est plus cher, les problèmes pour les entreprises sont plus grands. Avec une baisse de ses marges commerciales et par extension de ses prix sur les marchés. Il est très fréquent qu'ils développent périodes baissières du prix. Là où les secteurs boursiers les plus touchés sont ceux liés aux banques, aux groupes financiers et aux compagnies d'assurance.
A partir de ce scénario que présentent les taux d'intérêt, il sera fortement conseillé de prendre des positions lorsque les taux d'intérêt sont bas. Alors qu'en revanche, bien au contraire avec des périodes expansives dans la masse monétaire. Où la chose la plus raisonnable est que vous êtes beaucoup plus prudent dans tous les mouvements que vous développez. Bien que ce soit aux États-Unis où ces situations influencent le plus, on ne peut sous-estimer le panorama des taux d'intérêt sur le vieux continent.
Négociation d'actions dans cet environnement
Si vous souhaitez profiter de l'évolution des taux d'intérêt, d'un côté comme de l'autre de l'Atlantique, vous n'aurez d'autre choix que d'appliquer une série de directives comportementales pour optimiser vos opérations sur actions. Ils vous aideront à améliorer vos positions, cela peut même être le déclencheur d'une augmentation de la performance de votre épargne à partir de maintenant: Voulez-vous les suivre?
- Variez votre stratégie d'investissement selon le processus dans lequel les taux d'intérêt vivent à tout moment.
- Si nécessaire cela vous aidera à partir renouvelerPetit à petit, votre portefeuille d'investissement pour l'amener aux meilleures approches d'investissement à tout moment.
- Les réunions du autorités monétaires Ce sera un bon paramètre pour vous de prendre votre décision, d'une manière ou d'une autre.
- Les périodes récessives et expansives de l’économie internationale déterminera largement la politique monétaire des principales régions du monde développé.
- Vous détecter un bon nombre de produits financiers spécialement développés pour coexister avec des scénarios de taux d'intérêt élevés ou bas.
- Pour constituer votre portefeuille d'investissement, vous devez garder à l'esprit qu'il existe un certain nombre de des valeurs plus sensibles à ces politiques monétaires. Profitez-en à tout moment. Ils peuvent être des opérations très rentables pour vos intérêts.